Deux concerts exceptionnels
ces 22 et 23 novembre 2024 à 20h15
organisés en partenariat par La Badinerie asbl
et le Comité de Soutien aux Chrétiens d’Orient (CSCO)
dans la majestueuse Eglise Saint Jean Berchmans
Boulevard Saint-Michel 24
1040 Etterbeek
Compositeur, chef de choeur et pianiste argentin,
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Distribution :
au piano au Bandonéon Soprano . LA BADINERIE, Chœur mixte de LLN |
Martín PALMERI Gerardo AGNESE Rita MATOS ALVES et l’ensemble de 10 cordes MUSICAL EVASION sous la direction de Laëndi |
Le Requiem de Wolfgang Amadeus MOZART
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Distribution :
Soprano Mezzo Ténor Basse aux pianos LA BADINERIE |
Rita MATOS ALVES Aveline MONNOYER Markus ENNSTHALLER Charles DEKEYSER Mariano FERRANDEZ et Bernard GUIOT sous la direction de Laëndi |
« La Misatango fut créée à Buenos Aires le 17 août 1996. Cette œuvre a été écrite avec l’intention de d’offrir à mes chœurs une œuvre symphonique chorale qui puisse nous rapprocher du répertoire du tango. En effet, en travaillant avec les chœurs, j’ai constaté à quel point l’interprétation des tangos traditionnels par des chorales est particulièrement difficile et complexe. Cette œuvre est donc un hommage aux chœurs et au tango. Mais elle est aussi le fruit d’une production spontanée, issue de mon expérience comme chef de chœur, pianiste et arrangeur de tango… ». (Martín PALMERI) Créée en 1996, la Misatango de Palmeri aura payé d’un long purgatoire son originalité et sa hardiesse. Mais l’engouement du public et des chefs de chœur ont redonné un souffle au génie du tango de Martín Palmeri. |
Lorsque Mozart mourut tôt le matin du 5 décembre 1791, il laissa son dernier chef-d’œuvre, le Requiem, inachevé. Moins de trois mois plus tard, une partition complète du Requiem était remise à son commanditaire «anonyme». Comment le Requiem a-t-il été achevé et comment Mozart l’aurait-il terminé s’il avait vécu ? Ces mystères fascinent les musiciens depuis plus de deux siècles. En 1960, le musicologue Wolfgang Plath découvrit des esquisses jusque-là inconnues du Requiem dans une collection de manuscrits de Mozart à la Staatsbibliothek de Berlin. Il s’agissait clairement de « bouts de papier » donnés à Süssmayr par Constanze, dont il n’avait pas tenu compte dans sa hâte de respecter le délai de février. L’esquisse la plus importante indiquait que Mozart voulait que le Lacrimosa se termine par une fugue sur le texte «Amen». C’était le dernier indice dont le musicologue de Harvard, Robert Levin, avait besoin pour apporter sa propre contribution au mystère du Requiem inachevé de Mozart. Érudit réputé de Mozart, Levin avait réalisé de nombreux fragments de Mozart et s’était spécialisé dans les interprétations historiques et fidèles des œuvres pour piano de Mozart. Reconnaissant des récurrences du thème original du Requiem de Mozart, cachées dans les mouvements entièrement attribués à Süssmayr, Levin en déduisit que Süssmayr avait soit des esquisses, aujourd’hui perdues, soit des instructions orales de Mozart guidant sa composition. Le mystère du Requiem de Mozart ne pourra jamais vraiment être résolu.Avec cet achèvement inspiré et historiquement précis, le Dr Levin a proposé une solution possible au puzzle posé par Mozart il y a plus de deux siècles. |
Comité de Soutien aux Chrétiens d’Orient (CSCO)
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